Best 32 quotes of Elisia Blade on MyQuotes

Elisia Blade

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Apprends-moi à ne plus t’aimer. Apprends-moi à te haïr. Sinon j’ai peur de ne jamais m’en sortir.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    — Bien que ce scénario de film porno soit très tentant, je me vois dans l'obligation de décliner.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    — Comment oses-tu travailler dans mon entreprise ? Après tout ce que tu as fait, jamais tu n’aurais dû oser ne serait-ce que franchir le seuil de Pearl. Tu aurais dû mettre tout en œuvre pour ne plus jamais réapparaître devant moi.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    ― Comment peux-tu dire ça ? Comment peux-tu croire qu’une vie a plus de valeur qu’une autre ? Son cœur se brisa. Comment pouvait-on être aussi cruelle ? Elle imaginait Irénée le dénigrer à longueur de journée, lui rabâcher sans arrêt qu’il n’aurait jamais dû naître, qu’il n’était qu’un parasite.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Comment pouvait-on donner l'impression d'entièrement posséder quelqu'un avec un simple baiser ?

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Debout, face à elle, se tenait la raison de tous ses tourments, celui qui lui avait fait connaître le paradis mais surtout l'enfer.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    D’une main tremblante, elle lui caressa les cheveux. Son cœur se brisait une nouvelle fois. Et ce n’était pas parce qu’il lui confiait qu’elle était la pire chose qui lui soit arrivé. Son cœur saignait pour le petit garçon qu’il avait été, entouré de richesses et pourtant si seul. Ignoré par son père, rejeté par sa belle-mère.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Elle l'acceptait tel qu'il était. Têtu, intransigeant et dominateur.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Elle se sentait consumée par la peine et la douleur. Elle avait été si proche du bonheur.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Elle tapota légèrement ses joues pour finir de se réveiller complètement. Il fallait absolument qu’elle se lève et aille se laver. Elle bâilla longuement et l’haleine qu’elle avait lui donna la nausée. Elle se frotta les yeux et… Minute papillon ! Un objet étranger et non identifié lui griffa la paupière. Son cœur fit une embardée ce qui lui donna la force nécessaire pour ouvrir brusquement les yeux. — Merde ! éructa-t-elle en manquant s’étouffer avec sa salive. Puis elle poussa un hurlement strident.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    ― En réalité, reprit Elianor qui venait d'avoir un éclair de génie, nous sommes un couple libre. Tristan toussa si bruyamment qu'elle eut du mal à contenir son sourire. ― Je vous demande pardon ? souffla la grande brune après quelques secondes d'ébahissement. Elianor, la démarche chaloupée, alla s'installer sur l'accoudoir du fauteuil de Tristan. Elle fit courir ses doigts jusqu'à son épaule. ― Chéri, est-ce que tu lui as parlé de notre projet ? De ton fantasme avec les crochets et les pince-tétons ?

  • By Anonym
    Elisia Blade

    — Est-ce qu'il sait que tu me veux ? Et que je te veux aussi ?

  • By Anonym
    Elisia Blade

    ― Est-ce une pointe de jalousie que je perçois dans ta voix ? se moqua-t-il. ― Pas du tout, c'est de la fatalité.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Il l’embrassait. Il l’embrassait ! IL L’EMBRASSAIT. Ses lèvres étaient possessives, tentatrices, séductrices. Sa langue, enivrante telle une puissante drogue. Il l’embrassait comme s’il cherchait à lui laisser un marque indélébile, comme pour lui prouver qu’elle était sienne à jamais.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Inutile de lui mettre entre les mains une culotte dépassant de loin la taille 32, il risquerait de confondre ça avec un filet de pêche géant.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    — Mais maintenant que je t'ai sous les yeux presque tous les jours de la semaine, je ne pense qu'à t'embrasser, te toucher, te caresser. Ça me tue de voir qu'un simple regard, un simple effleurement peut causer ma perte.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    - Maintenant que je t'ai sous la main, tu n'iras nulle part Elia.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Non, tout cela n'est qu'une simple et stupide question d'électricité statique. De l'électricité statique, du magnétisme, l'électronégativité, il y a tout un tas de raisons bien plus plausibles qu'une banale histoire d'attirance.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    – Parce que tu crois que c’est mon ex-petit-ami ? Ou que j’ai envie de me le taper ? Est-ce que ça veut dire que maintenant que tu es un homme marié, tu vas arrêter de voir toutes tes anciennes maîtresses ? demanda Elianor avec une naïveté exagérée. Et avant même que Tristan n’ait le temps de répondre, elle repartit en fou rire. – Ah mais, suis-je bête ! enchaîna-t-elle en se frappant le front avec la paume de la main. Ce serait synonyme de ne plus adresser la parole à la totalité de la gent féminine, je me trompe ? – Est-ce une pointe de jalousie que je perçois dans ta voix ? se moqua-t-il. – Pas du tout, c’est de la fatalité.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Plus tard, entre le rêve éveillé et la léthargie, elle sentit un courant d’air très frais derrière elle, avant qu’une douce chaleur irradie le long de son dos. Un bras fort se resserra autour de sa taille et elle se sentit lovée contre un torse ferme et agréablement chaud. Elle n’eut même pas à réfléchir pour reconnaître la silhouette de Tristan. Tout son être le reconnaissait.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Quand – comme toutes les autres femmes – elle rêvait d’une lente et douce séduction, de belles déclarations d’amour enflammées, voilà ce qu’elle récoltait à la place. Du sexe pour du sexe. Pas de sentiments.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Quelles sont les probabilités de se perdre dans la campagne irlandaise sur un trajet de moins de dix kilomètres ? Très faibles. Cette probabilité devient nulle lorsqu'on s'arme d'un système de localisation dernière génération. Et pourtant je peux désormais dire que j'ai réussi cet exploit.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Se débarrasser de tout ça ? Le faire ? Mais de quoi parlait-il ? — J’ai envie de toi, précisa-t-il devant son incompréhension. Je te désire comme un homme désire une femme. — Tu me… quoi ? répéta-t-elle, incapable d’articuler une phrase cohérente. — Je sais que toi aussi. Alors si tu veux coucher avec moi, je serai plus que ravi de te rendre service.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Selon lui, tel était son plan : séduire, conquérir puis anéantir l’empire Kane.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Ses bras se nouèrent autour de sa taille et il huma la fragrance qu’elle portait au creux de son cou. Il frissonna de la tête aux pieds comme s’il était aux prises avec une tempête d’émotions qu’il avait du mal à canaliser. Elianor sentit l’empreinte d’un baiser sur son épaule. De ses lèvres entrouvertes, il remonta sur sa peau, la marquant au fer de la pointe brûlante de sa langue. Quand il mordilla son lobe, elle soupira longuement.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Si le sexe était une arme de négociation, Tristan serait certainement un diplomate hors pair.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    — Ton arrogance ne connaît donc aucune limite ?

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Tristan déposa un baiser dans le creux de son poignet. C’était si facile de se laisser tenter par l’intonation de sa voix, par le pouvoir hypnotique de son regard, par la chaleur de ses lèvres contre sa peau. Son sang entra en ébullition alors qu’il pressait sa bouche contre sa paume. Si facile et peut-être… trop facile, songea Elianor avec mélancolie et regret.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    — Tu ne penses qu'au sexe... Tu y penses si continuellement que je me demande comment cela se fait que ton cerveau ne se soit pas transformé en pénis.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    — Tu peux résister tant que tu veux, tu finiras par céder. Je suis prêt à patienter. L'attente décuple le plaisir.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Une carrure impressionnante. Des yeux électriques. Une voix sensuelle. Un sourire envoûtant. Et un « cul » à croquer.

  • By Anonym
    Elisia Blade

    Un jour viendra, songea Elianor avec un regard sadique, où Tristan sera atteint d'une maladie vénérienne qui le rendra impotent. Et ce jour-là, sourit-elle, ce jour-là elle saurait qu'il y avait réellement une justice dans ce monde.